Ligue des Champions

heuresement d'ailleur un sursaut d'orgueil d'avoir perdu 2 a 0 au match aller

Lyon a concédé le match nul au Barça sur sa pelouse (2-2), un résultat qui qualifie les Catalans et offre à l'OL une finale de groupe chez les Glasgow Rangers. La victoire était possible, la défaite a été proche, mais cela n'aurait rien changé, puisque Stuttgart a battu l'équipe britannique (3-2).




Lyon jouera une finale à Glasgow
Ils voulaient leur finale, ils l'auront. Les Lyonnais iront le 12 décembre à Ibrox Park tenter d'arracher leur billet pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, avec l'unique ambition de battre les Glasgow Rangers dans un quitte-ou-double étouffant. Ils iront sans avoir remporté leur demi-finale virtuelle contre Barcelone, mardi (2-2). Un tel résultat les aurait éliminés en cas de victoire des Glasgow Rangers à Stuttgart, scénario qui se dessinait juste avant la mi-temps, puisque les Ecossais menaient 1-0. Sa survie, l'OL la doit en partie à l'équipe allemande, finalement vainqueur 3-2 alors qu'elle est éliminée de tout, sauf de la course à la dotation. Il la doit aussi à sa propre performance, parfois convaincante et pas tellement bien payée, mais estompée par le regret amer de n'avoir jamais mené. Lyon a été obligé de réagir, deux fois, chaque fois sur un coup de pied arrêté de Juninho. L'équipe d'Alain Perrin eut le mérite essentiel d'obliger Barcelone à débuter ses actions d'assez bas et de globalement maîtriser le rythme du match. Cela ne veut pas dire qu'elle a monopolisé le ballon (56% pour Barcelone), ni qu'elle l'a fait assez vite, puisque Iniesta a ouvert la marque dès la 3e minute suite à un contre mené par Messi, relayé par Bojan. Alors que jusque-là, Barcelone conservait tranquillement le ballon dans une apathie lyonnaise étonnante, l'égalisation de Juninho intervint comme une divine surprise (7e). Sur un coup franc indirect à quarante mètres, le Brésilien cherchait la tête de Squillaci, ou celle de Fred. Qu'importe, le ballon passait entre les deux joueurs pour raser l'intérieur du poteau droit de Victor Valdes.
Alors, les Lyonnais choisirent de suivre Fabio Santos dans son pressing, Ben Arfa dans ses remontées de balle, et le public dans son envie de panache. Dans une partie pas tout à fait fluide mais toujours intense, l'OL rentra progressivement dans son match, alarmé par une frappe de Yaya Touré brillamment détournée par Vercoutre (16e), mais très dangereux sur une double occasion de Govou et Juninho, sur lesquelles Victor Valdes et Abidal s'interposaient. Même en santé précaire, le FC Barcelone conserve une qualité technique parfois fascinante, mais sans Henry (blessé), sans Ronaldinho (remplaçant, puis quelconque à partir de son entrée à la 70e), toute sa dangerosité repose sur l'incroyable vitesse et l'habileté technique de Lionel Messi côté droit. Tantôt déroutant, tantôt repris, le petit Argentin n'a pu tout régler tout seul. Car le jeune Bojan était, dans le même temps, mangé tout cru par Squillaci. Un coup franc de Juninho (31e) et un autre de Xavi (39e) menacèrent tour à tour les deux gardiens. Mais la façon dont l'OL neutralisa progressivement le Barça eut pour principale conséquence de faire disjoncter Frank Rijkaard juste avant la mi-temps. L'Italien M. Farina avait eu le tort de ne pas sévir plus tôt dans ce match tendu (Juninho et Abidal ne sont plus très copains, dirait-on).


A l'heure de jeu, il sortit même trois avertissements en à peine plus d'une minute, pour Juninho, Messi et Xavi. C'est qu'un penalty litigieux, très discuté par les Lyonnais, avait été sifflé à la 58e pour un tacle de Squillaci sur Messi, transformé par l'Argentin lui-même. A 2-1, Alain Perrin choisit alors de faire sortir Fred, copieusement sifflé, pour faire entrer Kader Keita. Encore loin de son meilleur niveau (une frappe de quarante mètres exempte de toute lucidité à la 37e), le Brésilien laissait sa place dans l'axe à un Ben Arfa recentré mais jamais en mesure de jouer face au but. Même plus volontaire, même plus accrocheur, cet OL-là reste une équipe en construction, née il y a à peine deux mois sur les cendres de la défaite face aux Rangers. C'est encore Barcelone qui se procurait les meilleures occasions, mais Gudjohnsen frappait au-dessus (63e) et Vercoutre réalisait un super match (67e). Il fallut un penalty pour voir l'OL égaliser. Juninho transforma en force, plein axe, la faute d'Abidal sur Keita (80e). La pression des dernières minutes fut vaine. Le FC Barcelone, alors, paraissait sans ressort, fatigué, fragile. Mais qualifié, lui, et certain de terminer en tête de sa poule.

il faudra aller gagner aux rangers, l'inter seville ou encore roma se sont qualifié

Besiktas revient dans la course

Marseille n'aime décidément pas les choses simples. Alors qu'ils semblaient se diriger tranquillement vers un match nul somme toute logique à quelques minutes du coup de sifflet final, face à Besiktas, les Olympiens ont craqué sur un but de Bobo (88e, 1-2) qui relance leur adversaire du soir dans la course à la qualification. Cela ne change finalement rien au fait que l'OM n'aura pas le droit de perdre contre Liverpool, dans quinze jours. Mais les Stambouliotes, virtuellement éliminés à ce moment du match, se retrouvent désormais en position de jouer les trouble-fête. Il leur faudra pour cela réussir l'exploit d'aller s'imposer à Porto lors de la dernière journée. S'ils y arrivent, ils seront qualifiés et l'OM devra alors absolument battre Liverpool, qui n'aura de son côté besoin que d'un nul pour passer. S'ils échouent, l'OM validera son billet s'il ne perd pas face à Liverpool. Quoiqu'il en soit, les quatre équipes du groupe sont bel et bien toujours en position de se qualifier.


Dans une ambiance surchauffée par des supporters en transe, les locaux ont fait d'entrée étalage de leurs qualités techniques, pourtant à peine entrevues à l'aller (2-0 pour l'OM), pour prendre l'ascendant dans le jeu. Comble de malchance, les Olympiens étaient rapidement privés de leur meneur à tout (bien) faire, Samir Nasri, sorti sur blessure dès la 25e minute et remplacé par Djibril Cissé. Sans sa pierre angulaire, l'OM continuait de subir mais éprouvait surtout les pires difficultés à construire son jeu. Conséquence immédiate, les locaux ouvraient la marque grâce à leur petit Chilien Rodrigo Tello, d'un coup franc enroulé en pleine lucarne (26e). Les hommes de Gerets tentaient bien de réagir, mais ils pouvaient au final s'estimer heureux de regagner les vestiaires sans plus de casse. Plus entreprenants après le repos, les Marseillais montraient alors un visage plus proche de celui qu'ils affichent en L1 ces derniers temps. Zubar, peu à l'aise dans un rôle inhabituel de latéral droit, avait cédé sa place à Taiwo à la pause, avant que Zenden ne soit remplacé par Ayew. Bien plus équilibré, pressant plus haut, l'OM allait monopoliser le ballon. D'une frappe lourde des 25 mètres dont il a le secret, Taiwo offrait aux siens une égalisation attendue. Djibril Cissé aurait même pu enfoncer le clou mais sa frappe manquait de puissance (87e). Sur le contre, Bobo ne se faisait lui pas prier pour redonner l'avantage aux siens, au moment où on l'attendait le moins. Le suspense promet d'être à son comble dans quinze jours.


Liverpool domine Porto sur le tard

Liverpool, qui pouvait être éliminé dès ce soir, a longtemps confirmé face à Porto son état de forme douteux du moment. Mais les Reds ont su appuyer sur l'accélérateur en toute fin de match pour s'imposer au final assez facilement (4-1) et conserver leurs chances intactes. Une victoire à Marseille qualifiera obligatoirement le finaliste de la dernière édition. Exerçant un pressing assez haut, les hommes de Benitez, dont les supporters ont longtemps scandé le nom suite à son accrochage cette semaine avec les actionnaires américains du club, ont logiquement ouvert la marque par Fernando Torres, de la tête (19e, 1-0). Liverpool a été rappelé à la réalité sur une autre tête, celle de Lisandro Lopez (33e, 1-1). Malmenés, les Reds ont alors éprouvé les pires difficultés face à une équipe de Porto solide et bien en place qui aurait pu doubler la mise par Lucho Gonzalez (36e). Il a fallu un nouvel exploit de Torres à l'entrée du dernier quart d'heure pour que Liverpool n'évite un nouveau camouflet cette saison (78e). Gerrard, sur penalty (84e), puis Crouch (87e) ont ensuite donné plus d'ampleur au score, mais surtout encore un peu d'espoir à leurs supporters.

rien n'est perdu pour l'om et lyon hereusement qu'il on fait un nul !

je crois que l'om est beaucoup plus dans la m**** que lyon , l'ol a retrouvé son niveau de jeu et s'imosera j'en suis sur en écosse, par contre liverpool est olbigé de gagner a marseille et la je suis qu'ils le feront aussi

J'en était sur que Liverpool allait se sauver, je suis fan de cette équipe et j'avais confiance
Mais beau parcours pour Marseille qui se console en UEFA ou ils peuvent s'imposer:n°1:

Car je ne pense pas qu'ils auraient pu contre Chelsea, le Barca, le Real ou Manchester !

oui il aurait pas pu mais aurait été jolie avoir !

mais l'uefa s'est pas trop mal et puis il son deja arrivé en final donc pourquoi pas faire un bon parcours on sait jamais surtout si du sang neuf (et bon surtous) sa pourait etre pas mal

Ca aurait été joli mais l'UEFA est a leur portée, ils ont reussi a battre Liverpool une fois et ils peuvent largement battre certaines équipes de l'UEFA !

2fois

mais s'est juste que l'équipe n'était vraiment pas dans le match hier

non c'est juste que les équipes été a leur vrai niveau hier
au fait a liverpool il chante "we never walk alone "
desormais a marseille ils chantent "we never wept alone "

non non mais je te chambrerais pas je l'ai deja fais sur msn

eagle54 a écrit:

non non mais je te chambrerais pas je l'ai deja fais sur msn

oui.....

Marseille honte du football français c'est tout et puis l'UEFA ils peuvent rêver avec des équipes comme le Bayern par exemple ^^

Lamarodom a écrit:

Marseille honte du football français c'est tout et puis l'UEFA ils peuvent rêver avec des équipes comme le Bayern par exemple ^^

ou bordeaux

ben justement dimanche ya bordeaux marseille lamar pourra te chambrer des lundi
puis meme marseille perd contre le zenith st petersbourg ou boleslav en uefa ces 2 dernieres anées alors

surment car l'om ne gagne jamais contre bordeaux..labas

Jordan 23 a écrit:

surment car l'om ne gagne jamais contre bordeaux..labas

Non vous allez gagner...

desormais ils se font des politesses pff mdr
allez bordeaux pour ce match ^^

Les retrouvailles entre Lyon et Manchester United, programmées pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, en février et mars 2008, sont le résultat d'un tirage au sort assez peu clément pour le champion de France, même si celui-ci était de toute façon condamné à affronter une équipe de très haut niveau. Héritier du champion d'Angleterre dans le premier match à élimination directe du tournoi, à l'ère où la Premier League ne laisse que des miettes à l'Europe, voilà qui condamne quoiqu'il arrive à une position d'outsider. Le sort a épargné à Lyon un duel inédit avec Chelsea, le seul grand d'Europe qu'il n'a jamais affronté en sept saisons de C1. Au moment de son histoire où il n'a pas renoncé à remporter le trophée, ce duel contre Manchester sera aussi un souvenir ambivalent. En 2004, quand les deux équipes figuraient dans la même poule, Alex Ferguson avait été le premier à annoncer que l'OL avait le niveau pour gagner la Coupe ''aux grandes oreilles''. Mais l'OL n'avait pris qu'un point contre les Red Devils (2-2, 1-2), à l'issue notamment d'un match merveilleux dont Gerland se souvient encore.

Ce qui rend ce duel contre MU spécifiquement dangereux, c'est que Manchester United a retrouvé une génération de tout premier plan au moment où son sevrage de titres européens commence à lui peser. Vainqueur de deux C1 dans son histoire (1968, 1999), mais aussi d'une C2 en 1991, MU s'est éloigné quelques saisons des grands matches du printemps, concédant même en 2005 une élimination humiliante en première phase derrière Villarreal, le Benfica, et Lille. Le club nordiste, dominé au métier en huitième de finale il y a quelques mois (0-1, 0-1) a ensuite fait les frais du retour de Manchester United à un niveau impressionnant. La route s'est achevée en demi-finale contre l'AC Milan futur vainqueur (3-2, 0-3), après un quart d'anthologie face à l'AS Roma (1-2, 7-1). Deux rendez-vous à l'issue desquels les jeunes loups comme Evra prirent rendez-vous pour l'avenir.

Lyon - Manchester United (match aller à Gerland) sera l'une des affiches les plus suivies, les 19 et 20 février (aller) puis les 4-5 mars, mais les deux chocs les plus relevés seront Arsenal - AC Milan et Liverpool - Inter Milan. Le premier de ces deux matches, notamment, opposera l'actuel leader du championnat le plus puissant d'Europe au tenant du titre de la C1. Autre affiche dont l'Europe se régale d'avance : AS Roma - Real Madrid, ou le duel entre deux des équipes les plus spectaculaires du moment. Le FC Barcelone, après avoir sorti les Glasgow Rangers en poule, retournera en Ecosse contre le grand rival, le Celtic. Les trois autres huitièmes tirés au sort : Olympiakos - Chelsea, Fenerbahçe - FC Séville et Schalke 04 - FC Porto

source lequipe.fr

Olympiakos Le Pirée (GRE) 0-0 Chelsea (ANG)

AS Roma (ITA) 2-1 Real Madrid (ESP)

Schalke 04 (ALL) 1-0 FC Porto (POR)

Liverpool FC (ANG) 2-0 Inter Milan (ITA)

Lyon (FRA) mercredi 20h45 Manchester United (ANG)

Celtic Glasgow (ECO) mercredi 20h45 0 FC Barcelone (ESP)

Arsenal (ANG) mercredi 20h45 Milan AC (ITA)

Fenerbahçe (TUR) mercredi 20h45 FC Séville (ESP)

2 grosses affiche ce soir

la jeunesse d'arsenal contre l'experience de milan ,
pour lyon va falloir tenir defensivement